RISQUE ÉLEVÉ DE GRIPPE AVIAIRE EN LOIRE-ATLANTIQUE

INFLUENZA AVIAIRE

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mis à jour au 30/11/2020

 

 

Vous êtes un particulier et vous détenez des oiseaux tels que des volailles ou des oiseaux d’agrément. Si ces oiseaux se trouvent à l’extérieur de votre habitation, vous êtes tenus d’en faire la déclaration afin d’être répertorié au niveau de votre commune.
Cette déclaration permet de lutter plus efficacement contre la propagation du virus Influenza aviaire en cas d’infection d’élevage à proximité de votre domicile.
Cette déclaration n’engendre pas de frais.
Vous pouvez la réaliser :
- au moyen d’un formulaire papier (CERFA n° 15472*02), disponible sur internet ou en mairie et à renvoyer à la mairie de votre commune
OU
- par télédéclaration via le lien suivant : https://agriculture-portail.6tzen.fr/default/requests/cerfa0/

Vous êtes un particulier et vous détenez des oiseaux tels que des volailles ou des oiseaux d’agrément ?

Si ces oiseaux se trouvent à l’extérieur de votre habitation, vous êtes tenus d’en faire la déclaration afin d’être répertorié au niveau de votre commune.

Cette déclaration permet de lutter plus efficacement contre la propagation du virus Influenza aviaire en cas d’infection d’élevage à proximité de votre domicile.

Cette déclaration n’engendre pas de frais.

Vous pouvez la réaliser :

  • - au moyen d’un formulaire papier (CERFA n° 15472*02), disponible sur internet ou en mairie et à renvoyer à la mairie de votre commune

 


Relèvement du niveau de risque de -modéré- à -élevé-

Après plusieurs pays du Nord de l’Europe, la France a détecté son premier foyer d’Influenza Aviaire Hautement Pathogène (IAHP) en Haute-Corse dans le rayon animalerie d’une jardinerie.

De fait, à compter du 17 novembre 2020, l’ensemble du territoire national métropolitain est placé en niveau de risque « élevé ». Cette situation entraîne l’application de mesures de protection  pour stopper les contacts entre les oiseaux sauvages et les volailles domestiques (claustration ou mise sous filet des volailles, interdiction de rassemblements d’oiseaux…).

Ces mesures de protection contre l’IAHP sont à mettre en place sans délai par les acteurs professionnels ou non. 


Les basses cours détenues par les particuliers, doivent être confinées dans un bâtiment ou protégées par la pose de filets permettant d'empêcher tout contact entre les volailles et les oiseaux sauvages.


Les élevages professionnels peuvent obtenir des dérogations après visite vétérinaire. Ils sont informés par leur groupement ou par la Direction départementale de la protection des populations (DDPP).

 

Ainsi, pour rendre cette surveillance sanitaire opérationnelle, il est essentiel que chacun signale la découverte de cadavres d’oiseaux sauvages, à savoir :

  • Dès le 1er cadavre d’Anatidés (Cygnes, Canards…), de Laridés (Goélands, Mouettes…), de Rallidés (Foulques, Râles…), d’Echassiers et de Rapaces.
  • En présence d’une mortalité groupée pour toutes les autres espèces d’oiseaux.  

A la découverte d’une mortalité d’oiseaux, contacter rapidement le service départemental de Loire-Atlantique de l’Office français de la biodiversité (OFB) :
- Par téléphone : 02.51.25.07.87
- Par mail : sd44@ofb.gouv.fr


Pour éviter tout risque de propagation du virus, les cadavres ne doivent surtout pas être déplacés afin de permettre aux agents de l’OFB de mener leur enquête sur place. Malgré tout, ce virus ne présente aucun risque pour la santé humaine, n’étant très contagieuse et virale que pour les oiseaux. 

 


Vous pouvez consulter ici le 
flyer sur le renforcement des mesures de biosécurité pour lutter contre l’influenza aviaire dans les basses cours